Malick. Les émerveillements sont-ils – doivent-ils être – parfois à la hauteur de nos interrogations ? Pour répondre à cette question d’autant plus hors champ qu’elle induit une forme de présupposé antithétique peu propice à l’air du temps, il nous fallait nous réfugier dans une salle de cinéma. Et enfin voir
The Tree of Life (l’arbre de vie), auréolé de sa palme d’or à Cannes et entouré depuis d’un halo d’avis pour le moins contradictoires. Alors autant prévenir. Que vous aimiez (est-ce le bon verbe ?) ou non ce film, qu’il vous perturbe (voilà le bon verbe) au point de vous en maintenir à distance, plongé que vous serez dans une éventuelle incompréhension sidérale, une chose est sûre et ça ne trompe pas : vous comprendrez sans forcément vous l’avouer (hélas) que vous n’oublierez jamais, absolument jamais, ce que vous êtes en train de voir… Durant 2 h18 min, le cinquième opus de Terrence Malick impose ses conditions. Non seulement il vous soumet à sa liberté absolue, mais, par le mode narratif et les moyens qu’il se donne pour en amplifier l’écho universel, il vous embarque de gré ou de force vers les terres improbables d’une ambition pour le cinéma qui dépasse de loin ce à quoi vous vous attendez… Au-delà ? C’est le cas de le dire. Depuis la mort de Stanley Kubrick, Terrence Malick (cinq films en 40 ans) est le dernier des géants à mettre sinon sa philosophie du moins sa «vision» au service des images, ultime cinéaste à construire sans se renier un univers singulier et/ou inaccessible. En l’espèce, «l’arbre de vie» ose l’autobiographique et le cosmique, le réductible et
le jupitérien. En peintre minimaliste et démiurge interstellaire, le réalisateur américain prétend embrasser dans un tout
(le «tout» étant fondamental) la vie d’une famille américaine de Waco, Texas, et la création du monde. De l’Homme à l’Espace. Ou plus exactement de Dieu jusqu’à l’homme. Bref, quelque chose entre ce «nous» d’ici-et-maintenant et cette genèse mystérieuse, 14 milliards d’années en arrière… Le Seigneur demanda :
«Où étais-tu quand je jetai les fondations de la Terre?» Malick utilise cette citation de Job, chapitre 38, pour débuter son film. Source de quiproquos – voire de fausse piste. Un égarement interprétatif pourrait en effet, un peu hâtivement, conduire le spectateur sur la seule voie de la Bible autorisant une lecture uniquement chrétienne de ce long-métrage. Soyons plus malins. Le livre de Job n’est-il pas, par sa démesure initiatique, le symbole des livres, de tous les livres? Pourquoi reprocher à Malick d’utiliser l’une des sources des écritures, via la caméra, pour représenter les forces telluriques, célestes et humaines dans leurs interactions entre l’intrahumain et l’au-delà humain ?
Larmes. Pour évoquer le haut et le bas, l’ailleurs et l’ici, le récit de
The Tree of Life se situe sur deux époques – auxquelles il convient d’ajouter des évocations filmées, prodigieuses, de la nature et de la naissance de toutes choses. On y voit le destin d’une famille sur deux époques. Les années 1950, avec Brad Pitt. Les années 2000, avec Sean Penn. Ces dernières sont amputées, réduites à l’os, ramenées aux seules conséquences des actions antérieures. Le film s’attarde donc sur les relations conflictuelles entre un père autoritaire (Pitt) et ses trois fils,
dont l’un va mourir tragiquement. Et voilà. La chronique au jour le jour d’une famille en plein apprentissage de l’existence. Haine. Amour. Fragilité. Racines. Cris. Joies. Le tout ramené à l’échelle du vivant, à ces pathétiques gestes quotidiens dont tôt ou tard il ne subsiste rien… Miracle des images visionnaires de Malick, qui universalise tout regard porté sur nous-mêmes, touche au cœur et sublime les moindres actes et jusqu’aux larmes que nous lâchons sans rire.
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L'une des rares photos de Terrence Malick. |
Raison. Chef-d’œuvre? Sans doute. Maîtrise absolue? Assurément. Exercice de métaphysique pure? Et pourquoi pas… Pour convaincre que Malick ne sombre pas dans une espèce de lyrisme pompeux et désincarné, ce que peut penser toute critique rapide, on dirait bien que
The Tree of Life est le
2001 l’Odyssée de l’espace du XXIe siècle. Avec en moins, une visée d’à-venir. Mais en plus, un inexpugnable mais viscéral besoin de retour à la multiplicité de l’être en tant qu’unicité. Voilà pourquoi la clef de ce film n’est évidemment pas la religion, mais la cellule du vivant, de ses origines à la fin (des fins), en passant par sa principale métaphore : la cellule familiale. Parce qu’il a encore tant et tant à nous montrer, Malick nous oblige à regarder par nous-mêmes. Ainsi, c’est la raison qui l’emporte et non la croyance dans quelque prière élégiaque. Le pessimisme et l’espérance se rencontrent en beauté dans
The Tree of Life, en tant que l’un et l’autre nous rappellent ce que nous sommes. Si peu de chose face au temps – et tellement de choses à l’épreuve de chaque instant.
[BLOC-NOTES publié dans l'Humanité du 24 juin 2011.]
(A plus tard...)
Mon dieu, merci, mille fois merci pour ce texte enfin intelligent sur ce film bouleversant. Je suis heureuse, très heureuse de lire ce texte qui me réconcilie avec moi-même : je ne suis donc pas seule à ressentir ce que je ressens... Quel bonheur.
RépondreSupprimerM.O.
Je n'ai pas vu ce film, mais je sens que ce texte va créer du débat...
RépondreSupprimerje ne dirai rien du film que je n'ai pas vu et n'irai pas voir, tant cet article dithyrambique évoque le langage des sectes. Illustration: incompréhension sidérale,liberté absolue,terres improbables, l’autobiographique et le cosmique,démiurge interstellaire,genèse mystérieuse, interactions entre l’intrahumain et l’au-delà humain , interactions entre l’intrahumain et l’au-delà humain, Haine. Amour. Fragilité. Racines. Cris. Joies. la multiplicité de l’être en tant qu’unicité ??? , la cellule du vivant,la cellule familiale,Le pessimisme et l’espérance se rencontrent en beauté,Si peu de chose face au temps... N'en jetez-plus!
RépondreSupprimerLe dernier intervenant n'a rien compris, rien compris du tout. The Tree of Life est un de ces rares films à pouvoir réunir l’infiniment petit et l’infiniment grand pour nous chavirer le coeur, le corps et l’esprit.
RépondreSupprimerC'est une fable philosophique sur le sens de la vie, sur la famille et sur les valeurs fondamentales de l’être humain... En plus de nous plonger dans le quotidien d’une famille américaine de classe moyenne des années 50, The Tree of Life s’attarde à ce qu’il y a au-delà, à ce Dieu, cette lumière, cette puissance intangible et fragile, cette source de vie qui s’exprime dans tous les éléments de l’Homme et de la nature.
Terrence Malick opte pour une contemplation très appuyée d'images sur la nature et la vie quotidienne.
Plusieurs cinéphiles détestent le genre (quelques personnes ont quitté la salle où je me trouvais) et d’autres acceptent la méthode et se laissent transporter par la puissance évocatrice de l’Arbre de la Vie. Le film n’étant pas une œuvre des plus verbeuse, c’est précisément dans le pouvoir cinématographique de Terrence Malick que réside la charge émotive du film. Ceux qui ont aimé ont bien raison !!!
Lent sans être lourd, exigeant, subtil et émouvant, The Tree of life fait partie de ces films qui donnent toute sa raison d’être au Septième art.
RépondreSupprimerAlors merci de l'avoir écrit dans l'HUMA !!!
The Tree of life divise au point qu’on peut entendre d’un côté qu’il s’agit du plus beau film du monde et de l’autre le plus chiant... Moi, je l'ai vu et devinez ? C'est l'un des chef d'oeuvre de ma vie. ni plus ni moins
RépondreSupprimer@anonyme 22:30 confirme par ses propos, je cite: "The Tree of Life s’attarde à ce qu’il y a au-delà, à ce Dieu, cette lumière, cette puissance intangible et fragile, cette source de vie qui s’exprime dans tous les éléments de l’Homme et de la nature" (on dirait une citation extraite de Télérama) le langage et l'idéologie typiques de certaines sectes ou églises ( comme celle fondée par L. R Hubbard) et à l'oeuvre dans l'écrit de Jean-Emmanuel DUCOIN.
RépondreSupprimerMalraux, nous avait prévenu au siècle dernier matérialiste et déspiritualisé: le XXI ème siècle sera religieux. Le communisme réel ayant échoué dans sa tentative de substituer la politique des hommes à celle de dieu, voilà ressurgir la tentation de remettre au centre du "marché mondial des idées" ses derniers oripeaux, ses dernières et amères loques.
"Sans la vilance de l'ironie, qu'il serait aisé fonder une religion! Il suffirait de laisser les badauds s'atrouper autour de nos transes loquaces". Citation de É.M Cioran.
Je ne vois pas où Ducoin aurait basculé de l'enthousiasme à l'idolatrie. Dire cela est ridicule, car forcément le film de Malick nous emmène dans un monde métaphorique très puissant et forcément imaginatif. Exactement comme le 2001 de Kubrick.
RépondreSupprimerFilm atypique, The Tree of Life est une véritable fresque prenant parfois des dimensions cosmiques, avant de nous ramener dans l’infiniment petit, dans le quotidien d’une famille texane des années 1950. JED a bien raison : aimer ce film n'a rien de sectaire, bien au contraire, c'est être universel !!! et avoir des valeurs universelles !!!
RépondreSupprimerDur de cibler exactement la position de Malick sur la religion, mais les références chrétiennes abondent quand même. Les questions que se posent les personnages sont universelles et humaines, mais les réponses trouvées durant une longue traversée du désert, à la poursuite de son enfant intérieur, ne sont-elles pas parfois un peu douteuses ? Ou alors il faut avoir un esprit très supérieur pour tout comprendre...
RépondreSupprimerŒuvre puissante et importante mais portant en elle le poids de son ambition, Tree Of Life est un film ne s’adressant pas à toutes les audiences et qui doit être abordé avec patience, et surtout : à ses risques et périls... Surtout à ne pas prendre au 1ER degré, sinon, on passe totalement à côté de la beauté du film et de son importance philosophique.
RépondreSupprimerRobert de Niro a dit : «It had the size, the importance, the intention, whatever you want to call it, that seemed to fit the prize».
RépondreSupprimerRien à ajouter...
@anonyme 11:07
RépondreSupprimerVous écrivâtes: " aimer ce film n'a rien de sectaire, bien au contraire, c'est être universel !!! et avoir des valeurs universelles !!!
Comme l'argent le nouveau Christ, en quelque sorte?
Mon pauvre ami !!! Avoir des valeurs universelles c'est être communiste et humaniste - pas un religieux !!!
RépondreSupprimerMC
Le texte de JED est en effet un peu emphatique, mais il a bien raison de s'enthousiasmer comme il le fait, avec son style et ses mots, gage de qualité intellectuelle. L'enthousiasme est rare de nos jours dans l'Huma, alors merci à lui. Vraiment.
RépondreSupprimerC'est le genre de film qu'on voit très rarement au cinéma, et qui au mieux est réservé pour les cinéma d'art et d'essai, c'est déjà une belle avancée de le voir dans des multiplexes, partageant l'affiche avec un Pirates des caraïbes.
RépondreSupprimerMalheureusement ce n'est pas tout public, et avec le recul, on peut comprendre que les avis soient partagés - et puisqu'on a coutume de le comparer au 2001 de Kubrick, on peut aussi dire que si 2001 sortait aujourd'hui, il aurait probablement les mêmes réactions, alors que.
Alors non, les personnes qui n'ont pas aimé ne sont pas connes, autant ça peut résulter d'un manque de culture, autant ça peut simplement être un film qui reste sans valeur quand on n'accroche pas au propos.
La narration est très spéciale, elle est à la fois inexistante et très solide, seulement elle est lente, elle tourne en ellipse, elle s'attache à plusieurs symboles et surtout, elle prend le temps de suggérer plutôt que d'expliquer. Non, l'histoire ne commence pas au bout d'une heure, il faut bien comprendre [mini-spoiler, mais pas trop] que c'est Sean Penn le héros du film, ce Sean Penn (Jack) coincé dans son ascenseur qui fait une petite phase existentielle, qui revient sur son passé, qui se remémore la mort de son frère, qui repense au comportement de ses parents (la mère protectrice et "naïve" et le père puant qui éduque son fils pour qu'il ne devienne pas comme lui) et qui en profite pour remettre en cause l'existence et l'utilité de Dieu pour... atteindre sa rédemption, disons ça comme ça. Et tout le film est un flashback, qui avance et recule en même temps, on assiste à sa naissance, son enfance, son début d'adolescence etc, qui construit le personnage de Jack pour nous montrer son évolution, qui construit les autres personnages autour, et qui utilise cet ensemble pour évoquer à la fois la naissance de la vie, mais aussi pour construire une réflexion sur... le sens de la vie. C'est pour ça que je ne trouve pas (bien que le film ait un fort côté religieux, certes) qu'il y ait une "conscience pro-Dieu", le discours est universel et Dieu n'est qu'une image pour représenter la vie dans son ensemble...
Enfin, moi, ce que j'en dis...
Tree of life n'est rien d'autre qu'un poème ou une thèse philosophique mis en image, il ne faut pas le voir autrement. Et entre la poésie et l'ennui, sans parler de philosophie, pour certains il n'y a qu'un pas, cela dit, étant donné que Malick vient de signer une version qui est probablement la plus pure de l'histoire du cinéma, je serais curieux de savoir comment certaines personnes, qui critiquent, mettraient en scène un film avec ce même sujet...
RépondreSupprimerPlus gros navet selon certains membre, ce film a reçu la Palme d'Or à Cannes. Alors je l'ai vu pour m'en faire une idée: Malick crée un nouveau cinéma, sa comparaison avec Kubrick est, selon moi, tout a fait justifié sur ce film. J'avais 'Mystères de Lisbonne' en 2010 comme meilleur film, je pense, avec 'Tree of Life', avoir mon meilleur film 2011. Néanmoins, la critique demeure divisée... et je ne comprends pas pourquoi !
RépondreSupprimerMagnifique!!! Grande expérience cinématographique...
RépondreSupprimerQue dire de ce film....
RépondreSupprimerPersonnellement, c'est un vrai chef d'oeuvre.
Les acteurs sont tout simplement sublimes.
La musique, transcendante.
Un film plein de grâce...
Cependant, je déconseille ce film à tout ceux qui s'attendent à un film classique.
Si vous n'aimez pas 2001, l'Odyssé de l'espace, n'allez surtout pas voir ce film.
Si vous n'aimez pas les films contemplatifs visuellement et additivement, n'allez pas voir ce film.
Si vous aimez les films où on vous explique tout, n'allez pas voir ce film.
Si vous n'aimez pas les films abordant un message religieux, n'allez pas voir ce film.
Si vous êtes sensible à la grâce et à la poésie, que vous soyez athée ou croyant, si vous aimez vous laisser emporter par une histoire, si vous appréciez la beauté chaotique de la nature, du cosmos au microcosme... ce film sera un vrai moment de bonheur.
Bon film
Ce film ne ressemble à aucun autre, ne répond à aucun schéma classique.
RépondreSupprimerSa force réside dans la beauté de ses images, la puissance de sa musique, la sensibilité que dégagent ses acteurs et l'intensité des liens qui les unissent. C'est avant tout l'histoire d'une famille : l'amour d'une mère, la rigueur d'un père soucieux de l'éducation et de l'avenir de ses enfants, la complicité unissant 3 frères. C'est l'histoire de la mort d'un des enfants, qui pose alors la question de la mort, mais également de la vie. Le film peut alors surprendre par son caractère abstrait, par l'omniprésence de la religion chrétienne et par l'enchaînement d'images s'apparentant à un film documentaire, voué à retracer les origines de la Vie. Le peu de dialogues peut également dérouter.
Au final, "The Tree of Life" est un film poétique, qui fait avant tout appel aux sens des spectateurs. Mais je comprends qu'il puisse dérouter à ce point...
Bon! On a bien compris puisque anonyme 20:45-20:45-20:49-20:50-20:52 le dit,le répète et le matraque: le film est bon, beau, sublime et un un vrai moment de bonheur partagé. (On croirait entendre s'exprimer la madone du Poitou!) Il n'y a plus qu'à s'incliner! Ainsi fonctionne la mécanique du pouvoir.
RépondreSupprimerAutant la partie "réelle " est assez réussie, les deux acteurs sont sublimes. Autant la partie sur le micro-macro ne pas pas accroché du tout. Je me suis même fais un peu chier je dois l'avouer.
RépondreSupprimerJ'avais juste envie de détruire quelque chose de beau.
Rarement un film n’aura suscité autant d’attentes. C’est bien LE projet mûri depuis plusieurs décennies par un des génies du cinéma encore en exercice. Un cinéaste décalé, dont les quatre premiers films sont de véritables petites merveilles visuelles et poétiques. Un cinéaste pour lequel tous les acteurs rêvent de travailler. Un cinéaste qui a attendu très longtemps avant de dévoiler son dernier bébé, déjà annoncé à Cannes l’an dernier et finalement retenu cette année où il a remporté la Palme d’or.
RépondreSupprimerLes réactions ont été contrastées, et on le comprend après avoir subi les deux heures et demi de poésie mystique du maître. C’est un OVNI, un film qui refuse tout cadre narratif ou dramatique, pour se consacrer à la recherche du divin depuis le début de la création jusqu’à une famille d’américains dans les années 50. Volontairement décérébralisé, le film est donc particulièrement difficile d’accès dès les premières images, où l’on reconnait le style de Malick fait de silences, de plans furtifs, de musique classique et d’une lumière incroyable. La beauté des plans est à couper le souffle, on ne peut que s’incliner devant tant d’audace, de culot. Oser faire un film d’art et d’essai complexe et perturbant à Hollywood est devenu tellement rare que c’est déjà un exploit en soi. D’autant que le première heure prend à la gorge : ce mélange de plans numériques, d’images de deuil et d’enfants est assez bouleversant, prenant, inédit. On baigne complètement dans une poésie totale, hors du temps et de toute logique. La maitre nous emmène avec son style inimitable vers des horizons lointains et totalement enchanteurs.
Mais malheureusement, l’enchantement ne tient pas la distance. On ne sait pas tellement ce qu’il cherche à nous dire, et malgré une succession de scènes très fortes, la métamorphose attendue du fils en être brutal et dur est beaucoup trop longue pour marquer.
Après un début poussif, on se laisse prendre par ce film d'une grande beauté.On réfléchit beaucoup durant ce film qui peut laisser la porte a de nombreuses interprétations malgré un discours évangélique très marque.Cependant,la dernière demi-heure est de trop, l'attention chute rapidement au fur et a mesure que le film devient incompréhensible.
RépondreSupprimerEn tous les cas, quoi qu'on pense de ce film merci à JED pour soulever encore le débat grâce à ses emportements ou ses coups de coeur !
RépondreSupprimerOn est quelque peu désorienté lors des 30 premières minutes du film, mais ça en vaut la peine.
RépondreSupprimerCe film vous laisse une empreinte indélébile, un souvenir impérissable.
La vie vaut d'être vécue et rien ne vaut la vie !
Cordialement.
Richard